Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Summer Au pair in Ireland
Summer Au pair in Ireland
Publicité
Archives
Summer Au pair in Ireland
16 juillet 2010

L’angoisse du départ :

 

 

La veille de mon départ a été relativement chaotique. Je ne me sentais pas particulièrement prête et je stressais pas mal. Je suis une maniaque de la vérification ; alors j’ai tendance à regarder 50 fois partout dans la maison pour voir si je n’ai rien oublié. Et c’est à peu près comme ça que j’envisageais mon dernier après-midi avant mon départ. Sauf que dans la vie, rien ne se passe jamais comme on l’a prévu.

J’ai eu des soucis liés à ma fac et à un stage que je dois effectuer à la rentrée, et j’ai donc été totalement obnubilé par tout ça. Du coup, exit la valise et mes préparatifs. Ce n’est que dans la soirée que j’ai pris le temps de vérifier qu’elle pesait moins de 15kg, même si mon objectif était toujours qu’elle n’en fasse que 10 afin que je puisse ramener des choses d’Irlande. Et là, horreur des horreurs quand je pèse la valise : 18kg ! Panique totale ! J’ai commencé à stresser encore plus en me disant que je n’y arriverai jamais car je ne pouvais rien enlever de cette valise. J’avais pris le minimum en plus ! Alors après avoir pesé une autre valise à vide qui, elle aussi, pesait plus de 5 kg, j’ai fini par changer mes plans et opter pour un sac. Cela m’embêtait parce que je voulais quelque chose de solide pour protéger les objets fragiles (comme les cadeaux pour la famille). Mais mon sac vide pesait 2kg et ce n’était pas un point négligeable. Alors hop hop hop, me voilà à huit heures du soir en train de changer de valise, tout en essayant de m’assurer que je n’en oubliais pas un bout. Et tout ça, toute cette angoisse, pour qu’au bout du compte mon père m’annonce que j’avais droit à 20 kg de bagage et non 15 !

Mais bon, mon stress ne venait pas que de là. Il y avait aussi le fait que je partais le lendemain dans un pays inconnu, chez des inconnus, qui parlent une langue que je maîtrise en France mais pas forcément sur le tas… Tout ça combinais à générer un gros stress. Du coup, je n’ai pas très bien dormi cette nuit-là.

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité